EXHORTER LES MAGISTRATS SÉNÉGALAIS QUI ONT EU A LA LUCIDITÉ DE DÉNONCER LES IMMIXTIONS DU POUVOIR EXÉCUTIF SÉNÉGALAIS DANS L’APPAREIL JUDICIAIRE A SE MOBILISER COMME UN SEUL HOMME, AVEC LA SOCIÉTÉ CIVILE, LES CHEFS RELIGIEUX, POUR PROTÉGER NOS INSTITUTIONS DE LA DÉLIQUESCENCE VERS LAQUELLE LES CONDUISENT LE PRÉSIDENT MACKY SALL QUI SANCTIONNE ET / OU RADIE TOUTE PERSONNE QUI OSE DÉNONCER DES DYSFONCTIONNEMENT DANS L’ADMINISTRATION SÉNÉGALAISE.
NB: IL EST TEMPS QUE SOIENT DÉFINITIVEMENT SUPPRIMÉES CES COMBINES INVENTÉES PAR LES POLITICIENS POUR VOLER LES DENIERS PUBLICS ET AUTRES BIENS DES POPULATIONS, SANS ÊTRE SANCTIONNÉS PAR LA LOI: CAISSE NOIRE, DROIT DE RÉSERVE, SECRET D’ÉTAT...
http://senego.com
“Les immixtions intempestives du régime de Macky Sall dans le fonctionnement de l’appareil judiciaire” dénoncées par l’Ums
Le Bureau exécutif de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) charge le ministre de la Justice qui, indique-t-il, manque entre autres de soutien face au manque de considération de leur tutelle.
Dans une résolution salée, les magistrats condamnent l’indifférence totale de la chancellerie face aux accusations non fondées tendant à jeter le discrédit sur la justice. Ils dénoncent aussi la démarche solitaire de Sidiki Kaba dans son initiative d’organiser des Assises de la Justice, sans concertation préalable avec les magistrats.
D’ailleurs, ils disent avoir remarqué des immixtions intempestives du pouvoir exécutif dans le fonctionnement de l’appareil judiciaire, des sorties maladroites des pouvoirs publics à l’égard des décisions de justice rendues, dont la dernière en date est celle de la Cour Suprême dans l’affaire des élèves maîtres.
Last but no least, l’Ums s’est insurgée contre les nombreuses affectations de collègues, sans justification objective.
https://www.actuprime.com
13 juillet 2016
Réforme et indépendance de la justice : Les magistrats veulent la sortie de l’exécutif du CSM
Le renforcement de l’indépendance de la justice passe par une réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). C’est la conviction du Bureau exécutif national de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) qui s’est réunie hier. Une fois de plus, l’UMS dénonce l’immixtion de l’Exécutif et ne veut plus le voir prendre part aux réunions du CSM. Les magistrats exigent plus que jamais sa sortie, afin que le Chef de l’Etat et le ministre de la justice, respectivement président et vice-président du CSM, ne puissent plus y participer.
En effet, dans le communiqué sanctionnant sa réunion, le BEN considère que ‘’le renforcement de l’indépendance de la justice passe nécessairement par une réforme en profondeur du Conseil supérieur de la magistrature’’. Au-delà de la question de l’immixtion du pouvoir exécutif, le BEN réaffirme sa détermination à renforcer l’indépendance de la justice et à lutter contre la corruption sous toutes ses formes. A cet effet, il ‘’appelle l’ensemble des Magistrats à faire bloc autour de l’UMS pour la sauvegarde de l’indépendance de la justice’’.
Outre la question du CSM, l’UMS soulève d’autres griefs contre l’Exécutif. Et c’est pour relever son ‘’indifférence à l’égard de la magistrature, de l’ordre judiciaire dont les projets de textes visant à moderniser la justice remontent à plus de 10 ans et tardent à être adoptés, en dépit des multiples promesses’’. Le président Magatte Diop et ses collègues déplorent également la faiblesse du budget alloué au ministère de la justice.
‘’Ceci, soulignent-ils, a fini de confiner le service public de la justice dans un état de dénuement total créant un malaise profond au sein de l’ensemble des acteurs du secteur’’. Le ministère de l’Economie et des Finances en prend aussi pour son grade. Il lui est reproché ‘’l’inexécution délibérée de ses engagements pris dans la mise en place des fonds prévus pour l’achèvement du bâtiment devant abriter le Centre de Formation Judiciaire (CFJ). Aux yeux de l’UMS, ‘’les pouvoirs publics manifestent peu d’intérêt à l’endroit du CJF par des blocages savamment entretenus par le ministre de l’Economie et des Finances dans la mise en place des fonds alloués pour l’érection d’un nouveau Centre’’.
La question de ‘’l’insalubrité et de l’insécurité, ainsi que des difficiles conditions de travail des magistrats tant à Dakar que dans l’intérieur du pays et le manque criard d’effectifs dans la quasi-totalité des juridictions’’, ont été aussi abordées au cours de la réunion.
enqueteplus.com
CF CI DESSOUS LE DÉCRET INJUSTE DU PRÉSIDENT MACKY SALL RADIANT UN FONCTIONNAIRE QUI N’EST PAS ACCUSÉ DE DIFFUSION DE FAUSSES NOUVELLES, NI DE CRIME ÉCONOMIQUE, MAIS D’AVOIR SIMPLEMENT INFORMÉ LES SÉNÉGALAIS QUE LEURS BIENS SONT MAL GÉRÉS; CECI EN S’APPUYANT SUR DES INFORMATIONS DÉJÀ A LA DISPOSITION DU PUBLIC AUSSI DANS LE SITE DU GOUVERNEMENT QUE DANS LE SITE DE L’OFNAC.

NB: DU RESTE CETTE DÉCISION SUBJECTIVE DE RADIER L’INSPECTEUR DES IMPÔTS MONSIEUR OUSMANE SONKO LE EST PLUS QUE SUSPECTE CAR ALORS QUE NOUS ATTENDIONS QUE L’OFFICE NATIONAL DE LA LUTTE CONTRE LA FRAUDE ET LA CORRUPTION (OFNAC.) QUI EST L’ORGANE JUDICIAIRE COMPÉTENTE, SE PRONONCE SUR LES ACCUSATIONS FORMULÉES CONTRE ALIOU SALL LE FRÈRE DU PRÉSIDENT MACKY SALL, NOUS AVONS OBSERVÉ: + LE 27 AOUT 2016 LE MINISTRE DES MINES ALY NGOUILLE NDIAYE QUI N’A RIEN A VOIR AVEC LE JUDICIAIRE, LAVER A GRANDE EAU ALIOU SALL ( http://senejournal.com./ PETROTIM : Aly Ngouille lave à grande eau Aliou Sall); + LE 27 AOUT 2016 LE FRÈRE DU PRÉSIDENT ALIOU SALL QUI N’A RIEN A VOIR AVEC LE JUDICIAIRE PRENDRE SA PROPRE DÉFENSE (http://senegal7.com)
→ NOUS DISONS AU PRÉSIDENT MACKY SALL, QUE NOUS ATTENDONS LES CONCLUSIONS DE L’ENQUÊTE OUVERTE PAR NAFI NGOM KEÏTA SUR ALIOU SALL: NI LES ARGUMENTS DU MINISTRE DES MINES ALY NGOUILLE NDIAYE, NI LES ARGUMENTS DU SUSPECT ALIOU SALL, N’ONT DE VALEUR DEVANT LA LOI POUR QUE JUSTE APRÈS LEURS SORTIES PAR LA PRESSE QUE LE DÉFENSEUR DES BIENS DES POPULATIONS NOTRE BRAVE OUSMANE SONKO SOIT RADIÉ DE LA FONCTION PUBLIQUE .
http://www.journaldupays.com
Sénégal: Macky Sall limoge Nafy Ngom Keita pour protéger un membre de sa famille
NAFI NGOM KEÏTA
Macky Sall limoge Nafy Ngom KEITA pour avoir ouvert une enquête sur son ‘’intouchable’’ frère Alioune SALL et Ousmane Sonko pour avoir dit une certaine vérité sur la gestion du pays.
« Le Président de la République du Sénégal a nommé, par décret n°2016-1004 du 25 juillet 2016, Madame Seynabou Ndiaye DIAKHATE en qualité de Présidente de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC). Elle remplace à ce poste Madame Nafi Ngom KEITA dont le mandat est arrivé à terme » lit-on dans un communiqué rendu public par le président de la République.
Selon le même texte, la nouvelle Présidente de l’OFNAC est magistrate de formation. Elle a occupé diverses fonctions dans l’appareil judiciaire national mais également au sein des juridictions communautaires de l’UNION Economique et Monétaire Ouest Africaine.
Mme Nafy Ngom Keita est limogée suite à l’ouverture d’une enquête sur le patrimoine du frére du Chef de l’Etat Alioune SALL. Depuis plusieurs mois, Nafy a entendu plusieurs personnes dans le cadre de l’affaire Pétro Tim qui mouille le frére du président Macky Sall, et de l’affaire Lamine Diack. Elle paie le prix de son indépendance.
Ce limogeage vient une nouvelle fois prouver le ‘’machiavélisme’’ soutenue qui caractérise le président du Sénégal dans cette foulée rancunière a aussi démis de ses fonctions d’Inspecteur des Impôts Ousmane Sonko. Une décision qui est tombée ce mardi et qui fait suite à une procédure disciplinaire enclenchée par le ministère de l’Économie et des Finances et exécuté par la Direction des Impôts et Domaines.
Une sanction qui fait certainement suite aux nombreuses sorties de Ousmane Sonko qui a vertement critiqué la gestion du président Macky Sall. les proches du jeune fonctionnaire dont l’engagement politique pour une gestion articulée et participative des ressources du pays n’est plus à démontrer compte manifester leur mécontentement face à cette posture de dictateur en devenir du président sénégalais.
Moussa Moïse Djiba (M2D)
ARTICLE DU 11-08-2016
# EN AFRIQUE LES POLITICIENS QUI NOUS DIRIGENT DEPUIS LES INDÉPENDANCES SONT PIRES QUE LES COLONISATEURS; CE SONT DE VÉRITABLES PARASITES QUI VOLENT L’ARGENT DES POPULATIONS ET LES EMPÊCHENT AINSI DE SE SOIGNER, D’ÉTUDIER ET D’AMÉLIORER LEURS CONDITIONS DE VIE. …
→ AUSSI POUR LE CAS DU SÉNÉGAL NOUS PRIONS LE SEIGNEUR DIEU QUI EST JUSTE NON SEULEMENT DE NOUS DONNER UN CHEF D’ÉTAT QUI AURA PITIÉ DES SÉNÉGALAIS, MAIS SURTOUT DE NOUS SOULAGER DU DOULOUREUX RÈGNE DU PRÉSIDENT MACKY SALL,
1.QUI UTILISENT LES DENIERS PUBLICS NON PAS POUR POURVOIR OUVRIR DES CHANTIERS ET POURVOIR DES EMPLOIS, MAIS A DES FINS POLITIQUES CF SES DISTRIBUTIONS DE CADEAUX PENDANT LA CAMPAGNE RÉFÉRENDAIRE ALORS QUE LES SECTEURS E LA SANTE ET DE L’ÉDUCATION PROTESTAIENT POUR LE NON RESPECT D’ACCORDS PREALABLEMENT SIGNÉS AVEC LE GOUVERNEMENT SÉNÉGALAIS.
APPELER TOUS LES SÉNÉGALAIS A SOUTENIR LES ENSEIGNANTS ET LES MÉDECINS PROTESTATAIRES JUSQU’A LA SATISFACTION TOTALE DE LEURS REVENDICATIONS LÉGITIMES: CAR LE SÉNÉGAL EN A LES MOYENS. EN EFFET LES SENEGALAIS ONT PRIS LE PRÉSIDENT MACKY SALL EN FLAGRANT DÉLIT DE GASPILLAGE DE L’ARGENT QUI APPARTIENT AUX SÉNÉGALAIS LORS DE LA CAMPAGNE POUR LE REFERENDUM DE 2016, ALORS QUE LES SECTEURS PRIORITAIRES DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA SANTÉ ORGANISAIENT DEPUIS DES MOIS DES PROTESTATIONS POUR LA SATISFACTIONS DE LEUR REVENDICATIONS LÉGITIMES, SANS QUE LE PRÉSIDENT MACKY SALL NE DÉBLOQUE L’ARGENT QUI APPARTIENT AU PEUPLE SÉNÉGALAIS POUR METTRE LES ENSEIGNANTS ET LES MÉDECINS DANS LES CONDITIONS DE TRAVAIL OPTIMALES! DE LA PART DU PRÉSIDENT MACKY SALL, CECI EST UNE MÉCHANCETÉ MANIFESTE ENVERS LES SÉNÉGALAIS QUI L’AVAIENT ÉLU; CAR ILS VEULENT QUE LEURS ENFANTS REÇOIVENT LA MEILLEURE ÉDUCATION, ET QUE LES MEILLEURS MÉDECINS ET LES MEILLEURES STRUCTURES HOSPITALIÈRES SOIENT MIS A LA DISPOSITION DU PEUPLE.
LE PRÉSIDENT MACKY SALL PRIS PAR LES SÉNÉGALAIS EN FLAGRANT DÉLIT DE GASPILLAGE DE L’ARGENT QUI APPARTIENT AU PEUPLE LORS DE LA CAMPAGNE POUR LE REFERENDUM DE 2016, ALORS QUE LES SECTEURS PRIORITAIRES DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA SANTÉ ORGANISAIENT DEPUIS DES MOIS DES PROTESTATIONS POUR LA SATISFACTIONS DE LEUR REVENDICATIONS LÉGITIMES …
→ CAR PARTOUT DANS LES PAYS DÉVELOPPÉS LES SECTEURS DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA SANTÉ SONT LE MOTEUR DES SOCIÉTÉS; 1. EN EFFET C’EST PAR UN ENSEIGNEMENT DE QUALITÉ QUE TOUT PAYS AUGMENTE SA CROISSANCE GRÂCE A L’EFFICIENCE DE SES TRAVAILLEURS QUI ONT ÉTÉ BIEN FORMÉS PAR UN ENSEIGNEMENT DE QUALITÉ); 2. C’EST AUSSI UNE POPULATION EN BONNE SANTÉ QUI PEUT TRAVAILLER DANS LES SECTEURS DE L’ÉCONOMIE DE TOUT PAYS.
→ LES SÉNÉGALAIS DOIVENT DÉSORMAIS EXIGER DE LEURS DIRIGEANTS QUE LA CONDITION DE LEURS ÉLECTIONS INCLUENT AUSSI QUE LEURS ENFANTS ET / OU LEURS PROCHES SOIENT INSCRITS DANS LES ÉCOLES ET LES UNIVERSITÉS LOCALES; ET QUE LES DIRIGEANTS SÉNÉGALAIS, LEURS ENFANTS ET TOUS LEURS PROCHES SOIENT AUSSI SOIGNÉS DANS LES STRUCTURES MÉDICALES LOCALES ET JAMAIS PLUS A L’ÉTRANGER. CAR C’EST LA SEULE FAÇON DE METTRE UN TERME L’ÉGOÏSME DES DIRIGEANTS AFRICAINS EN GENERAL ET DES DIRIGEANTS SÉNÉGALAIS EN PARTICULIER AFIN QU’ILS CESSENT DE VOLER LES DENIERS PUBLICS QUI DOIVENT SERVIR A L’ÉDUCATION ET A LA SANTÉ!
2. LE PRÉSIDENT MACKY SALL QUI SANCTIONNE LES DÉFENSEURS PATRIOTES DU SÉNÉGAL QUI ONT FAIT DES REVELATIONS SUR LES DYSFONCTIONNEMENTS SOUS LE RÉGIME DE MACKY SALL
INFORMER LE PRÉSIDENT MACKY SALL QU’IL EST EN TRAIN DE SCIER LA BRANCHE SUR LAQUELLE IL EST ASSIS , CAR PROGRESSIVEMENT LES POPULATIONS QUI ÉLISENT TOUT CHEF D’ETAT DÉCOUVRENT QUE VOUS SANCTIONNEZ CEUX QUI RÉVÈLENT LES FAILLES DE CERTAINES ADMINISTRATIONS ET/ OU QUE LEUR ARGENT EST MAL GERE;

http://www.dakaractu.com/
Le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, auteur de l’ouvrage ‘’Pour l’honneur de la gendarmerie’’ ‘’J’ai pris toutes mes responsabilités, je suis prêt à faire face’
C’est difficilement que le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw a accepté de glisser ces mots, quelques heures avant de se présenter devant sa hiérarchie, après avoir été rappelé à Dakar, depuis deux semaines. Dans les colonnes d’EnQuête qui avait publié en exclusivité les bonnes feuilles de l’ouvrage, ‘’Pour l’honneur de la Gendarmerie’’, en deux tomes, le colonel Ndaw revient sur… les sillons du livre. Il explique, avec plus de détails personnels, les raisons qui l’ont poussé à écrire, réaffirme sa volonté de prouver les faits soulevés dans l’ouvrage, si sa hiérarchie le lui demande, écarte avec fermeté l’argument du règlement de comptes avec le Général, refuse d’être assimilé à un officier qui a révélé des secrets d’Etat, réfute la thèse de la frustration et prend date. Les points abordés sont nombreux, même si notre interlocuteur, peu loquace, évite de les traiter en profondeur. Le Colonel, Ndaw qui déclare désormais s’en référer à sa hiérarchie, veut casser le débat sur sa loyauté par rapport à un corps qu’il a servi plus de 40 ans en déclarant que ce n’est pas l’Armée qu’il vise, mais un groupe de ‘’cinq à six personnes’’.

http://www.leral.net/
Lundi 27 Juin 2016
Affaire de la drogue dans la police : L’ex-commissaire Keïta réclame la réouverture du dossier et saisit ABC
L’EX COMMISSAIRE KEÏTA
Au lendemain de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogue, Cheikhna Cheikh Saad Bou Keïta réveille, selon La Quotidien, des démons dans une lettre adressée au médiateur de la République, Alioune Badara Cissé. Il recourt à l’entremise de celui-ci pour réouverture d’un dossier qui avait ébranlé la Direction de la Police nationale.
L’ex-patron de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis), Cheikhna Keïta, se rappelle au bon souvenir d’autorités qui l’avaient sanctionné en le radiant de la Police nationale, il y a de cela trois années. Trois années durant lesquelles des faits nouveaux, en corrélation avec le dossier dit du scandale de la drogue dans la police, n’ont pas pour autant fait avancer une enquête restée lettre morte après l’éviction d’Abdoulaye Niang de la Direction de la Police nationale. Dénonçant le statu quo, il a saisi, selon le journal, le médiateur de la République, Alioune Badara Cissé, pour qu’il intervienne auprès du président de la République pour ordonner la réouverture de ce dossier.
L’ex-commissaire fonde sa demande, pour la réouverture du dossier, « à la lumière des faits nouveaux que sont l’arrestation de Dieng, cet agent de police qui servait à l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants et celle de Akim », l’autre Nigérian cité dans le rapport qu’il avait adressé au ministre de l’Intérieur de l’époque (Ndlr : Pathé Seck). Cette demande, explique-t-il, se justifie « par respect au droit des Sénégalais d’être informés de tout par les dirigeants qu’ils se sont choisis » et « qu’ils puissent effectivement l’être à cause de ces faits nouveaux dont l’exploitation permettrait de préserver de souillures l’image du Sénégal et de protéger la bonne réputation de sa police (Sic) ».
Cheikhna Keïta de rappeler : « L’affaire en question est partie d’appels téléphonique émanant de trafiquants de la place qui me proposèrent leurs services pour la remise en circulation des drogues saisies par le service dont je venais juste d’hériter du commandement ».
Pour rappel, en mars 2014, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, avait, dans son réquisitoire, blanchi le commissaire Abdoulaye Niang de toutes poursuites tout en demandant le renvoi du Nigérian Austin, l’origine du scandale, devant la Cours d’Assises. Cheikhna Keïta lui est radié de la Police depuis 2013 tout en conservant ses droits à la retraite.
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Ousmane Sonko, Inspecteur des Impôts : » Les députés sénégalais ne paient pas l’impôt «
Représentants du peuple qu’ils sont, les députés sénégalais semblent être des citoyens pas totalement comme les autres. Puis qu’à l’instar de tous les citoyens sénégalais, eux ne s’acquittent pas convenablement de leurs droits et obligations surtout celles fiscales. C’est en tout cas l’avis de l’Inspecteur des Impôts, Ousmane Sonko qui révèle que « les députés sénégalais ne paient pas l’impôt ».
Il fait cette révélation au cours d’un panel « Les samedis de l’Economie ». « Ce qui est constant, c’est qu’il n’y a pas de reversement d’impôts de l’Assemblée Nationale. Vous savez, au niveau de l’Assemblée Nationale, comme c’est le système exonération à la source, c’est le Questeur de l’Assemblée Nationale qui paie les salaires qui doit opérer la retenue et qui reverse. Ce qui est constant c’est que jamais jusqu’au moment où je vous parle, il n’y a eu de reversement d’impôt », renseigne-t-il dans le populaire. Et de s’interroger si ce qui est retenu par le Questeur est détourné à autre chose. « L’argent n’entre pas au trésor public », tonne-t-il…
3. LE PRÉSIDENT MACKY SALL QUI SIGNE CES A.PE. DÉFAVORABLES A L’ÉCONOMIE DU SÉNÉGAL
EXHORTER LES SÉNÉGALAIS A SE MOBILISER COMME UN SEUL HOMME AFIN DE SIGNER LA PÉTITION CONTRE LES A.P.E., EN ACCORD AVEC LE GROUPE DES 84 PATRIOTES QUI SE BATTENT POUR PROTÉGER L’ÉCONOMIE DU SÉNÉGAL CONTRE LA DESTRUCTION DE NOTRE ÉCONOMIE CF FERMETURE D’ENTREPRISES ET CHÔMAGE A CAUSE DE L’ACCÈS AU MARCHE SÉNÉGALAIS DE PRODUITS OCCIDENTAUX MOINS CHERS. …..
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Pétition «Non» aux Ape : Front contre Macky
Source: : Lequotidien | Le 13 juillet, 2016 à 12:07:04

Au total, elles sont 84 personnalités composées d’universitaires, députés, syndicalistes, hommes politiques, membres de la société civile à signer la pétition contre les Accords de partenariat économique (Ape). Une autre campagne allant dans le sens de sensibiliser le Conseil économique, social et environnemental a été lancée.
La bataille pour faire reculer le Sénégal quant à la signature des Accords de partenariat économique (Ape) est loin de connaître sa fin. 84 personnalités parmi lesquelles des universitaires, députés, syndicalistes, hommes politiques, membres de la société civile viennent de signer une pétition pour s’insurger contre lesdits accords. A l’occasion de la présentation de cette requête hier, la Coalition nationale «Non aux Ape» est revenue sur les motivations de ce combat. D’emblée, le coordonnateur Guy Marius Sagna et Cie ont appelé l’Etat du Sénégal à s’inspirer de l’exemple de la Tanzanie qui a sursis à sa volonté de signer ces accords.
Au cours de la conférence, l’économiste Demba Moussa Dembélé a attiré l’attention de l’opinion sur les «dangers» de la signature des Ape pour l’Afrique. Il énumère : «Notre agriculture ne pourra jamais soutenir la politique agricole commune de l’Union européenne, l’une des plus puissantes qui sera subventionnée d’une manière ou d’une autre. Le peu d’industries que nous avons ici va disparaître en un instant et surtout les pertes au niveau des recettes fiscales, c’est-à-dire que nos budgets vont en pâtir et notre dépendance vis-à-vis de ce qu’on appelle les bailleurs de fonds va s’accentuer», prévient-il. Avant de poursuivre : «Nous, nous ne comprenons pas pourquoi le Président Macky Sall, qui quand il était Premier ministre, s’était opposé vivement à ces accords, quelques années après, revient pour non seulement signer, mais demander à des pays comme le Nigeria de signer», se demande-t-il.
Pour le député Thierno Bocoum, «il s’agit d’accords de pendaison économique. Il faut des accords, l’Afrique ne peut pas être isolée du reste du monde, mais il faut des accords qui prennent en compte la spécificité des économies des uns et des autres, la concurrence est déloyale, il n’y a pas d’équité dans cet échange». Le coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la République est aussi contre ces «Accords néocoloniaux». Mamadou Diop Decroix de dire : «Si le Président signe et que l’Assemblée ratifie, nous poursuivrons le combat. Je dénonce beaucoup d’accords que Macky Sall a signés, parce qu’il les a signés contre les intérêts du Sénégal. Quand le régime changera, il faudra revenir sur beaucoup de choses.»
Autour de la même bataille, la coalition «Non aux Ape» a démarré une autre campagne pour collecter au moins 5 000 signatures afin de saisir le Conseil économique, social et environnemental sur la question.
4. LE PRÉSIDENT MACKY SALL ACCUSÉ DE NÉPOTISME FLAGRANT CF SON PROPRE FRÈRE ALIOU SALL CITÉ DANS DE NOMBREUX SCANDALE DANS SA MAIRIE, ET DANS LES MONTAGES DE TIMIS/PETROTIM
EXHORTER LE PRÉSIDENT MACKY SALL A GÉRER LE DOSSIER DE SON FRÈRE ALIOU SALL, QUI EST CITÉ DANS DE NOMBREUX SCANDALE DANS SA MAIRIE, ET DANS LES MONTAGES DE TIMIS/PETROTIM, AVEC AUTANT DE ZELE QU’IL A GÉRÉ L’AFFAIRE KARIM WADE. CAR SI LES SÉNÉGALAIS VOUS ONT ÉLU COMME CHEF D’ETAT CE N’EST PAS POUR QUE VOS PARENTS S’APPROPRIENT LES BIENS DES SÉNÉGALAIS ET / OU POUR QUE L’APR BENEFICIENT DES DENIERS PUBLICS QUI DOIVENT SERVIR A SATISFAIRE LES REVENDICATIONS DES SECTEURS DE L’ÉDUCATION ET DE LA SANTÉ.
LE FRERE DU PRESIDENT MACKY SALL ALIOU SALL, QUI EST CITÉ DANS DE NOMBREUX SCANDALE DANS SA MAIRIE, ET DANS LES MONTAGES DE TIMIS/PETROTIM
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Le 11 avril, 2016
Ousmane Sonko met à nu les montages de Timis/Pétro-tim : «On est en face d’un dossier d’évasion fiscale»
L’administration fiscale doit immédiatement s’auto-saisir. C’est l’avis de Ousmane Sonko, le leader du parti Pastef les patriotes. L’invité de l’émission Objection de ce dimanche sur Sud Fm, est revenu en profondeur sur les enjeux de l’exploitation du pétrole sénégalais, et les montages financiers qui ont permis à Petro-Tim, avec l’appui de Aliou Sall, frère du président Macky Sall, de faire main basse sur les ressources naturelles du pays.
D’emblée, explique-t-il, « Petro-Tim est une filiale de Petro Asia ressources, qui elle-même est une filiale de pétro Asia Limited, tous basées aux îles Caïman qui est un paradis fiscal. Et dans le processus de fabrication et de création de cette société, ce qui est bizarre, on a d’abord créé Petro-Tim Sénégal, pour ensuite s’envoler quelques mois plus tard, aller dans les paradis fiscaux pour créer d’autres entreprises qui sont des entreprises mères. Cela aurait dû être un premier clignotant pour l’administration fiscale de dire attention. Là, on a le cadre typique d’une société-écran », dénonce Ousmane Sonko, inspecteur principal des impôts et domaines.
La fuite des capitaux, poursuit-il, passe souvent par le pillage des ressources naturelles, avec des montages juridiques. « Jusqu’à présent, personne ne peut nous dire ce que pétro-Tim a dû donner comme ticket d’entrée pour se faire concéder une licence d’exploitation de pétrole », ajoute-t-il, avant de rappeler que « le pétrole sénégalais n’a pas été découvert en 2012. Les premières découvertes ont été faites depuis les années 2000 ». À l’époque, renseigne Ousmane Sonko, le président de la République actuel (Macky Sall : NDLR) était directeur des banques de données de Petrosen. Quand on finalisait, il était directeur général de Petrosen. Il a été ensuite ministre des Mines et de l’Énergie. Et c’est maintenant que son frère (Aliou Sall : NDLR) qui n’a aucune connaissance de ces questions-là, qui nous dit qu’il est journaliste de formation, subitement sort de nulle part pour être un magnat du pétrole. Je considère que dans ce dossier, il y a délit d’initiés », fait constater le spécialiste des questions fiscales. Qui démontre que Petro -Tim est bien une société-écran derrière laquelle plane l’ombre de Timis corporation du très influent milliardaire Frank Timis.
« En juin 2012, rappelle-t-il, le président de la République a signé un décret pour accorder 90 % à Petro-Tim et 10 % à l’État du Sénégal… Les conditions pour la concession n’ont pas été respectées parce que jusqu’à présent, on ne nous dit pas ce que Petro-Tim a donné comme ticket d’entrée. Petro-Tim n’a fait aucun investissement, aucune fouille, aucune recherche au Sénégal, on lui donne cela. Parce que Petro-Tim n’était qu’une société-écran. Derrière, il y avait Timis.
Quelques mois plus tard, Petro-Tim cède ses parts à Timis. Jusqu’à présent on ne connait pas le montant. L’administration fiscale ne s’est pas saisie de ce dossier-là, regrette-t-il ensuite.
Ousmane Sonko va plus loin. “Petro-Tim a cédé 90 % de ses parts. Timis, sur ces 90 %, cède les 60 % à Cosmos, à 200 milliards… La première cession a dû coûter au minimum 300 milliards”, révèle l’invité de Baye Oumar Guèye sur Sud FM. Suffisant pour interpeller l’administration fiscale.
Pour lui, “Il faut convoquer la direction des impôts et domaines. On est en face d’un dossier d’évasion fiscale. Qu’est-ce qu’on fait pour récupérer l’argent qui est dû au Sénégal ?” interroge-t-il à l’endroit du pouvoir. “Si dans des cas aussi concrets on ne peut rien faire, a fortiori pour des suppositions de comptes bancaires qui seraient logés au Panama”.
Auteur: seneweb News – Seneweb.com
5. LE PRÉSIDENT MACKY SALL QUI MANQUE DE FERMETÉ FACE A CERTAINS DIRIGEANTS DU MONDE, AU POINT QU’IL A ACCEPTÉ DE RECEVOIR LE CRIMINEL DE GUERRE PAUL KAGAME DANS NOTRE CHER SÉNÉGAL; AU POINT QU’IL A ACCEPTÉ DE RECEVOIR LES TERRORISTES DONT LES USA NE VEULENT PAS;
→ RAPPELER A L’ORDRE LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUI CONSIDÈRE LE SÉNÉGAL COMME UN DÉPOTOIR OU IL PEUT VENIR DÉVERSER DES « PRISONNIERS TERRORISTES » QUE LA TERRE DES USA NE PEUT HÉBERGER.:
LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUI CONSIDÈRE LE SÉNÉGAL COMME UN DÉPOTOIR OU IL PEUT VENIR DÉVERSER DES « PRISONNIERS TERRORISTES » QUE LA TERRE DES USA NE PEUT HÉBERGER.
« EXCELLENCE MONSIEUR LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA; NOUS EN AVONS ASSEZ DE VOIR LE MONDE FAIRE LES FRAIS DE VOS IMPOSSIBLES PROMESSES ÉLECTORALES QUE SONT 1. LE REFUS D’ENVOYER LES « BOYS » DANS LE MONDE POUR VEILLER SUR LA SÉCURITÉ DE LA TERRE (RÉSULTAT: LA PROLIFÉRATION DE L’INSÉCURITÉ DANS LE MONDE A ATTEINT DES TAUX JAMAIS ENREGISTRES DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ) 2. LA FERMETURE DE LA PRISON DE GUANTANAMO AVEC LA DISPERSION DANS LE MONDE DE DANGEREUX TERRORISTES DANS DES PAYS QUI PEUVENT EN ÊTRE VICTIMES. ICI AU SÉNÉGAL, SI LE PRÉSIDENT MACKY SALL S’EST EMPRESSÉ DE VOUS DONNER SON ACCORD POUR ACCUEILLIR VOS BANDITS, JE VOUS RAPPELLE QUE LE PAYS N’APPARTIENT PAS AU PRÉSIDENT MACKY SALL, MAIS AUX SÉNÉGALAIS QUI NE VEULENT PAS DE VOS BANDITS!
LE PRÉSIDENT MACKY SALL QUI S’EST EMPRESSÉ DE DONNER SON ACCORD AU PRESIDENT BARACK OBAMA POUR ACCUEILLIR SES BANDITS, DANS NOTRE CHER SÉNÉGAL SANS MÊME CONSULTER NI LES REPRÉSENTANTS DU PEUPLE NI LES CHEFS RELIGIEUX!
Madame Ndèye Khady Ba