EXHORTER LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUI A DÉCIDÉ DE SE CROISER LES BRAS SUR LE DOSSIER SYRIEN, A CONTINUER A SE CROISER LES BRAS JUSQU’À LA FIN DE SON MANDAT, ET A NE PAS INTERFÉRER SUR LE PLAN DE SORTIE DE CRISE PRÉSENTER PAR LE S. G. DE L’ONU POUR LA R.C.A. EST QUI EST PERTINENT. JE SUIS VRAIMENT INDIGNÉE DE VOIR QUE LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA TENTE D’EMPÊCHER L’ENVOI DE CASQUES BLEUS EN R.C.A. EN SOUTENANT QUE CELA PRENDRA TROP DE TEMPS. ET JE RAPPELLE AU PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUE DÉJÀ (http://centrafrique-presse.over-blog.com ) « La Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC) a déployé une force de maintien de la paix de 2.500 militaires. Ban Ki-moon a déclaré que l’Union africaine (UA) allait prendre en décembre la direction de cette force, la Misca, et en porter les effectifs à 3.600 hommes. ET CELA LAISSE LE TEMPS AU S.G. DE L’ONU DE DÉPLOYER SES CASQUES BLEUS! 20 novembre
EXHORTER LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUI A DÉCIDÉ DE SE CROISER LES BRAS SUR LE DOSSIER SYRIEN, A CONTINUER A SE CROISER LES BRAS JUSQU’À LA FIN DE SON MANDAT, ET A NE PAS INTERFÉRER SUR LE PLAN DE SORTIE DE CRISE PRÉSENTER PAR LE S. G. DE L’ONU POUR LA R.C.A. EST QUI EST PERTINENT. JE SUIS VRAIMENT INDIGNÉE DE VOIR QUE LE PRÉSIDENT BARACK OBAMA TENTE D’EMPÊCHER L’ENVOI DE CASQUES BLEUS EN R.C.A. EN SOUTENANT QUE CELA PRENDRA TROP DE TEMPS. ET JE RAPPELLE AU PRÉSIDENT BARACK OBAMA QUE DÉJÀ (http://centrafrique-presse.over-blog.com ) « La Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC) a déployé une force de maintien de la paix de 2.500 militaires. Ban Ki-moon a déclaré que l’Union africaine (UA) allait prendre en décembre la direction de cette force, la Misca, et en porter les effectifs à 3.600 hommes. ET CELA LAISSE LE TEMPS AU S.G. DE L’ONU DE DÉPLOYER SES CASQUES BLEUS!
Par lefigaro.fr avec Reuters 18/11/2013 à 21:36
Les Nations unies se préparent à un éventuel déploiement de casques bleus en République centrafricaine et se tiennent prêtes à redéployer des effectifs issus de missions dans des pays proches si la situation se détériore rapidement, a annoncé aujourd’hui Ban Ki-moon.
…. “Il est urgent de traiter cette crise avant qu’elle n’échappe à tout contrôle”, ainsi affirmé, Ban Ki-moon le secrétaire général des Nations unies, le 18 novembre, lors de la présentation d’un rapport sur la situation en RCA, avant de demander au “Conseil (de sécurité) d’autoriser une action collective immédiate pour protéger la population civile”. Et d’insister : “Il faut déployer d’urgence une force efficace, avec un financement durable et prévisible”.
Dans son rapport, Ban Ki-moon a donné 5 options possibles, comme le simple soutien logistique à la MISCA, la mise en place d’une opération hybride calqué sur le modèle de l’Amison en Somalie (force de l’Union africaine financée par l’ONU) ou encore le déploiement de 6.000 à 9.000 casques bleus.
Manifestement, c’est cette dernière solution qui aurait la préférence du secrétaire général de l’ONU, dans la mesure où il estime que la MISCA, prévue pour être pleinement opérationnelle en décembre avec 3.600 hommes, présente de nombreuses faiblesses et qu’elle aura besoin de soutiens financiers et matériels importants pour mener à bien ses missions.
Le déploiement éventuel de casques bleus avait fait l’objet de la résolution 2021 soumise par la France et adoptée à l’unanimité par le Conseil de sécurité en octobre dernier. Dans un premier temps, ce texte prévoyait un renforcement de la MISCA, laquelle pourrait se transformer ensuite en mission de maintien de la paix sous l’égide l’ONU. Mais pour cela, il faudrait une seconde résolution, si pas une troisième…
Selon Ban Ki-moon, l’Union africaine et la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC) ne sont pas hostiles à ce que la MISCA soit éventuellement intégrée à une mission des Nations unies… Mais seulement dans le cas où elles échoueraient à régler la crise centrafricaine par elles-mêmes. “J’ai donné pour instruction au secrétariat (de l’Onu) de préparer des plans en conséquence, dans l’attente d’une décision du Conseil de sécurité”, a-t-il indiqué.
Quant à la France, il est prévu une augmentation de ses effectifs militaires, lesquels devraient passer de 450 à 1.000 hommes. C’est très probablement la raison pour laquelle une réserve opérationnelle embarquée (ROE) de 300 hommes prendra place à bord du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, attendu pour participer à l’opération Corymbe, dans le golfe de Guinée.