RAPPELER A TOUS LES CHEFS D’ETAT DU MONDE, ET A TOUS LES CITOYENS DU MONDE QUE C’EST PRECISEMENT L’ONU QUI A ENGAGER LA DESTRUCTION DE LA PALESTINE DES LE 29 NOVEMBRE 1947 POUR Y INSTALLER LES EUROPENS JUIFS EX PRISONNIERS D’ADOLPHE HITLER, ET C’EST PRECISEMENT L’ONU QUI CONTINUE LA DESTRUCTION DE LA PALESTINE EN 2011 EN ENTRETENANT L’IMPUNITE DES CRIMINELS DU « FAUX-ETAT ISRAEL » AVEC SON IGNOBLE SYSTEME DU VETO 29 septembre
Je tiens à publier ce présent article afin de demander instamment à tous les Chefs d’Etat de tous les pays de monde et à tous les citoyens du monde, de sortir de leur léthargie, qui a permis la création de l’entité dénommée Israël sur des bases de crimes de vols de terres en Palestine et des bases de massacres et d’expulsion de Palestiniens: pour installer à la place des Palestiniens les Européens Juifs ex prisonniers d’Adolphe Hitler. Alors que si nous nous referons au droit, les Européens Juifs ex prisonniers d’Adolphe Hitler devaient après leur libération être reconduite dans leur pays d’origine respectivement en Europe même: les ex prisonniers juifs français libérés devaient être retournés en France, les ex prisonniers juifs Allemands devaient rester en Allemagne, les ex prisonniers Polonais juifs devaient rentrer en Pologne, etc…
Mais la bêtise des politiciens de occidentaux les a conduit à violer le droit en se protégeant sans vergogne de l’organe commun qu’est l’ONU, pour faire leur « sale besogne »: détruire la Palestine, y commettre des vols de terres, des massacres et des expulsion de Palestiniens pour les remplacer par les Européens Juifs ex prisonniers d’Adolphe Hitler: et pour finir voter une résolution pour donner un semblant de légitimité à l’entité illégitime qu’ils ont appelée Israël.
Document à l’appui je rappelle au monde les crimes commis en Palestine de 1948 à 2011, et les manoeuvres ignobles des politiciens occidentaux qui ont permis non seulement de voter une résolution frauduleuse à l’ONU pour tenter de légitimer le « faux-Etat Israël », mais aussi d’user et d’abuser du système ignoble du droit de veto pour préserver l’impunité des criminels qui dirgent le « faux-Etat Israël ».
Je précise que la responsabilité principale du Gouvernement Mondial est de réorienter le monde dans l’application du droit de manière équilibré pour protéger tous les peuples du monde, et qu’en conséquence il remontera depuis le 1er janvier 1942 (Déclaration des Nations-Unies du 1er janvier 1942 ) pour répertorier les illégalités et crimes commis par les politiciens occidentaux avec la bénédiction de l’ONU, pour restaurer la légalité partout dans le monde où elle a été violée.
Le plan de partage de l’ONU du 29 novembre 1947 détruit la Palestine; et sans l’autorisation des Palestiniens, les politiciens occidentaux sous le couvert de l’ONU permettent l’installation des Européens juifs ex prisonniers d’Adolphe Hitler, sur les terres légitimes des Palestiniens qui sont massacrés et / ou expulsés.
Documents de références pour rappeler au monde que les faits sont incontestables: Israël a été créé sur des bases criminels, et c’est précisément l’ONU qui est sensée défendre la sécurité dans le monde qui protège les criminels du « faux-Etat Israël » de 1948 à 2011 grâce à l’ignoble système du droit de veto.
Massacres, Nettoyage Ethnique Sionistes à Lydda Palestine 11 – 15 juillet 1948 – La Catastrophe : hier comme aujourd’hui le monde reste silencieux.
La guerre arabo palestino israélienne de 1948 connue en Israël sous le nom de guerre d’indépendance et en Palestine sous celui d’al Nakba (la catastrophe) est une blessure béante pour les palestiniens, qui hier comme aujourd’hui subissent une terrible injustice, et paient le prix d’une autre terrible injustice, dont ils sont totalement innocents
Illustration l’Instit
Massacres, Nettoyage Ethnique Sionistes à Lydda Palestine 11 – 15 juillet 1948 – La Catastrophe : hier comme aujourd’hui le monde reste silencieux.
La guerre arabo palestino israélienne de 1948 connue en Israël sous le nom de guerre d’indépendance et en Palestine sous celui d’al Nakba (la catastrophe) est une blessure béante pour les palestiniens, qui hier comme aujourd’hui subissent une terrible injustice, et paient le prix d’une autre terrible injustice, dont ils sont totalement innocents.
Cet anniversaire, du 11 au 15 juillet, est pratiquement connu que des seuls palestiniens. Mais il a aidé à construire leurs revendications pour un retour sur leurs terres et dans leurs maisons. Ignorer ces évènements historiques, ou les nier, comme le font les sionistes quand il s’agit de l’histoire du peuple palestinien, c’est se condamner à ne jamais pouvoir comprendre ce conflit colonial qui fait pratiquement chaque jour des victimes côté palestinien.
Le 11 juillet 1948, un convoi de blindés et de jeeps du commando israélien 89 s’est approché de la ville de Lydda sur la plaine côtière de la Palestine. Les 150 soldats de ce commando faisaient partie d’un important contingent constitué de survivants de l’holocauste, qui venaient à peine de débarquer, eux-mêmes victimes d’une autre catastrophe (Shoah en hébreu) qui avait eu lieu en Europe, et de sionistes juifs nés en Palestine entraînés aux combats pendant la seconde guerre mondiale au sein de l’armée britannique. Leurs jeeps étaient équipées de mitrailleuses tchèques et allemandes, capables chacune de tirer 800 balles à la minute. Le chef du bataillon, un jeune colonel, Moshé Dayan, avait fait passer des ordres pour une attaque éclair misant sur la puissance de feu et la surprise totale.
La guerre avait officiellement commencé en mai, après des mois d’hostilités entre arabes palestiniens et juifs. En Novembre 1947, les Nations Unies avaient voté la partition de la Palestine en deux états, un pour les palestiniens et un pour les juifs. Le mouvement sioniste le voyait comme un havre de sécurité pour les juifs après l’holocauste. Cependant, la majorité palestinienne en Palestine se demandait pourquoi c’était à eux de fournir la solution à une tragédie juive en Europe. La majorité des terres leur appartenaient et ceux d’entre eux qui se retrouvaient du côté juif de la partition n’avaient aucun désir de devenir une minorité sur leur propre terre. Ils voulaient un état à majorité arabe palestinienne en Palestine, et ils ont demandé l’aide des pays arabes voisins pour empêcher les sionistes juifs d’établir l’état d’Israël.
Les combats se sont intensifies dans les premières mois de 1948. En avril, un massacre commis par le groupe terroriste juif l’Irgoun (le père de l’actuelle ministre des affaires étrangères israélienne Tzipi Livni était l’un des responsables de cette organisation terroriste) dans le village arabe de Deir Yassin, déclencha une vague d’épouvante à travers toute la Palestine. En représailles, des médecins et infirmiers juifs furent assassinés sur la route de Hadassah près de Jérusalem. Pendant ce temps, apprenant ce qui c’était passé à Deir Yassin, des milliers de villageois palestiniens pris de panique s’enfuirent vers des lieux sûrs, avec l’intention de revenir des la fins des hostilités.
Le 13 mai, la ville palestinienne côtière de Jaffa est tombée, et des réfugiés ont commencé à remplir les rues de Lydda et la ville voisine de al –Ramla. Le jour suivant, lors d’un discours au Conseil provisoire sioniste David Ben Gourion proclamait l’indépendance d’Israël, et le 15 mai les armées arabes traversaient la frontière pour attaquer le nouvel état sioniste. A ce moment là les forces en présence étaient pratiquement égales, les arabes prenant légèrement le dessus mais pendant une trêve de 4 semaines commencée le 11 juin, Israël a réussi à briser l’embargo d’armes décrété par l’ONU à son encontre, et quand la guerre a repris en juillet, l’état sioniste avait désormais l’avantage.
Dans l’après midi du 11 juillet, le convoi du bataillon 89 s’est dirigé vers Lydda. Arrivés aux abords de la ville les soldats ont commencé à tirer des rafales de mitraillettes, des dizaines de milliers de balles en quelques minutes. « Tout ce qui se trouvait sur leur passage mourut» écrit le correspondant du Chicago Sun-Times dans un article intitulé «L’utilisation de tactiques Blitz (éclair) font gagné Lydda». Les commandos furent suivis des forces régulières de l’armée israélienne, qui ont occupé Lydda et réprimé brutalement une courte rébellion locale : 250 personnes ont été tuées, dont plus de 80 civils tués dans la mosquée locale, et 4 soldats israéliens. Pendant ce temps, des avions israéliens survolant la ville et celle voisine d’al Ramla, ont largué des tracts demandant aux palestiniens de fuir vers l’est, vers le royaume hachémite de Transjordanie.
Le lendemain, le colonel Yitzhak Rabin ordonnait l’expulsion de la population palestinienne de Lydda et de la ville voisine d’al Ramla.
Les expulsions en masse, ce qu’on appelle aujourd’hui nettoyage ethnique, ont commencé le 13 juillet et continué pendant 3 jours. Les palestiniens d’al Ramla, qui s’étaient rendus sans incident, ont été mis dans des bus et conduits sur les lignes de front des combats comme ceux de Lydda puis on leur a ordonné de sortir des bus et de continuer à pieds.
De Lydda, les palestiniens ont marché en direction des collines vers la ville de Ramallah située à environ 32 Kms. Des soldats sionistes juifs ont évoqué plus tard leur désir de punir les palestiniens de Lydda pour leur rébellion manquée ; certains soldats ont confisqué l’or des réfugiés, et tiré en l’air pour accélérer leur départ. Ce même mois, comme l’a documenté l’historien israélien Benny Morris le ministre Aharon Cohen a déclaré que les troupes israéliennes à Lydda avaient reçu l’ordre de «prendre des expulsés palestiniens chaque montre, bijou et argent… de sorte qu’arrivant complètement démunis ils deviendraient un poids pour la légion arabe » l’armée du roi Abdallah de la Transjordanie voisine.
Les palestiniens avaient prévu que ce voyage serait de courte durée, et de courte distance ; la plupart n’avaient pas eu le temps de rassembler des provisions pour ce voyage périlleux. Ils avaient laissé derrière eux tous leurs biens. Entre 30 000 et 50 000 palestiniens de Lydda et al Ramla se sont dirigés vers Ramallah en empruntant des chemins de traverse et sentiers muletiers, marchant sous le soleil de l’été, tenaillés par la faim et surtout la soif. Les plus fragiles, des enfants en bas âge, des vieillards n’ont pu résister et sont morts en route.
« La marche de la mort » comme l’appelle les palestiniens a fait des victimes dont le nombre reste à ce jour inconnu, victime d’un nettoyage ethnique sioniste, un parmi d’autres.
Ces expulsions d’al Ramla et Lydda de même que celles d’autres villes et villages palestiniens en 1948, sont désormais bien documentées à travers notamment les recherches de nouveaux historiens israéliens Benny Morris ((The Birth of the Palestinian Refugee Crisis; 1948 and After); Tom Segev (1949: The First Israelis); et Alon Kadish (The Conquest of Lydda, publié par l’armée israélienne). Rabin dans ses mémoires, décrit comment pendant les jours critiques de la mi juillet 1948, il a demandé à Ben Gourion ce qu’il fallait faire de la population civile palestinienne de Ramla et Lydda, et ce dernier, « avait balayé l’air de sa main ce qui voulait dire : chassez les ».
Dans le journal du Palmach (l’ancêtre des forces armées israéliennes) en juillet 1948, Yigal Allon décrit les avantages militaires des expulsions de masse : « chasser les habitants de Ramla et de Lydda diminuera la pression exercée par une population hostile tout en encombrant les routes pour la légion arabe, pour qui il sera difficile de reconquérir les villes. » Allon décrit aussi en détails les opérations psychologiques menées par les dirigeants des kibboutzim qui « murmuraient à l’oreilles des palestiniens qu’un important renforcement juif était arrivé » et «qu’il devraient suggérer aux autres de s’échapper alors qu’il en était encore temps. » Cette tactique a atteint sont but.
Les expulsés de Ramla et Lydda sont arrivés à Ramallah une ville alors à dominante chrétienne. Environ 100 000 réfugiés se sont entasses dans des cours d’écoles, des gymnastes, des couvents, des baraques militaires, ou bien dormaient dans les oliveraies, des grottes, des granges, et le long des routes. Finalement ils ont rejoint plus de 600 000 réfugiés pour former un contingent d’exiles palestiniens toujours plus nombreux et plus désespérés, dont le maître mot est Retour.
Le traumatisme de la Nakba est aux palestiniens ce qu’a été l’holocauste aux israéliens. A partir de la Nakba ils ont construit leur lutte de libération, leur mouvement de résistance que les sionistes appellent « terrorisme ».
Dans les nouvelles attaques israéliennes contre la bande de Gaza où vivent environ 900 000 réfugiés palestiniens entassés pour la plupart dans des camps sur une superficie si étroite que ce coin de terre est le plus densément peuplé au monde, le combat comme par le passé est de nouveau ré-engagé. 58 ans après la Nakba de Lydda les femmes palestiniennes de nouveau vendent leur bijoux pour acheter de l’huile d’olives et du pain pour survivre, les avions israéliens de nouveau larguent des tracts demandant à la population de quitter leurs maisons, les médicaments manquent, l’eau aussi.
Du déjà vu pour les palestiniens, les anciens, ceux des territoires occupés et ceux en exil, pour qui tout ce qui se passe aujourd’hui ravivent des souvenirs douloureux.
Les récents massacres de palestiniens (plus de 50 dont des civils des enfants des femmes) par l’armée sioniste israélienne dans la bande de Gaza, sous prétexte de libérer un soldat israélien fait prisonnier par la résistance palestinienne, rappellent les commentaires d’un rabbin extrémiste Yaacov Perrin, lors de son eulogie au colon fanatique Baruch Goldstein, qui en 1994, a massacré 27 palestiniens en prière au caveau des patriarches : « 1 million d’arabes, ne valent pas un seul ongle juif ».
La politique actuelle de vengeances et de représailles menée par les sionistes est tout simplement auto destructrice.
Source de certains informations : un article de Sandy Tolan et Tom Engelhardt intitulé « Déjà vu in gaza » publié le 11 juillet sur www.antiwar.com
Sandy Tolan est l’auteur de The Lemon Tree: An Arab, a Jew, and the Heart of the Middle East, il est responsable du projet de reportage international à l’école de journalisme de l’université de Berkeley Californien, a produit des dizaines de documentaires radiophoniques, travaillé comme reporter au Moyen Orient depuis 1994 et dans d’autres pays depuis 25 ans.
Le massacre de Deir Yassin s’est produit le 9 avril 1948 durant la guerre de Palestine. Il a été perpétré par 120 combattants de l’Irgoun et du Lehi. Les historiens évaluent aujourd’hui le nombre de tués aux alentours de 100 à 120 personnes1 avec une majorité de civils, femmes et enfants. À l’époque, la presse et différents commentateurs rapportèrent le nombre de 254 victimes2.
Selon les historiens et commentateurs, ce massacre a eu des répercussions importantes sur la suite du conflit, notamment en favorisant l’exode palestinien, terrorisé par l’idée de subir le même sort, et en augmentant la pression sur les dirigeants arabes des pays voisins pour intervenir dans le conflit.
Concernant la « Guerre de Six Jours » (1967) certains intellectuels soupçonnent les pilotes de l’armée américaine d’avoir mener cette guerre à la place des Européens Juifs immigrants illégaux, qui n’avaient pas à l’époque une expérience assez avancée dans le domaine de la guerre aérienne. Les enquêtes que mèneront les « Institutions judiciaires » du Gouvernement Mondial (qui a l’obligation de remonter depuis la création de l’ONU en 1942 pour répertorier tous les crimes commis par les politiciens sous le drapeau avec la bénédiction de l’ONU, pour restaurer la légalité partout où l’ONU a permis sa violation
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